La contre-plongée, c’est un peu comme la vie : parfois, il faut regarder les choses d’en bas pour en saisir toute la grandeur.
Dans cette série, j’ai décidé de lever les yeux — littéralement — pour vous offrir une collection de photos où le monde prend de la hauteur… et un peu la grosse tête.
Quand les monuments se prennent pour des géants
Le Colisée, Big Ben, les cathédrales… vus d’en bas, ils ne sont plus juste historiques, ils deviennent mythologiques.
La contre-plongée leur donne des airs de titans figés dans la pierre. On se sent tout petit, mais étrangement plus proche de leur âme.
L’architecture moderne en mode fusée
Les immeubles, les ascenseurs urbains, les balcons qui montent vers le ciel… tout semble vouloir décoller.
La contre-plongée transforme la ville en paysage vertical, presque futuriste. On dirait que les bâtiments veulent nous dire : “Regarde-moi, je suis plus qu’un tas de béton.”
Manèges et grandes roues : l’art du vertige
Les structures de fête foraine deviennent des toiles géométriques, des labyrinthes de lumière et de métal.
On ne sait plus si on est dans un parc d’attractions ou dans un rêve d’ingénieur un peu trop inspiré.
Tours, phares et colonnes : le minimalisme qui monte haut
Ces solitaires de pierre, capturés en contre-plongée, prennent une allure solennelle, presque spirituelle.
Ils dominent le paysage sans arrogance, juste avec la force tranquille de ceux qui ont vu passer les siècles.
Pourquoi la contre-plongée ?
Parce qu’elle change le point de vue. Elle donne du pouvoir au sujet, de la profondeur à l’image, et souvent… un peu de poésie.
Elle oblige le photographe à s’humilier un peu (accroupi, allongé, tordu), mais le résultat en vaut la chandelle : une vision du monde plus audacieuse, plus graphique, plus vivante.
Pour voir la série complète
C’est ICI
Et vous ?
Vous êtes plutôt contre-plongée ou plongée ?
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